Gain moyen entre 111% et 300% pour les salariés actionnaires du SBF120.

Le Panorama de l’actionnariat salarié d’Eres s’intéresse depuis plusieurs années à la performance des opérations collectives d’actionnariat salarié (augmentation de capital réservée ou cession d’actions) réalisées par les grandes entreprises cotées en France.

Gain moyen entre 111% et 300% pour les salariés actionnaires du SBF120., Eres Group

Après avoir analysé l’ensemble des opérations d’actionnariat salarié collectives (augmentation de capital réservée ou cession d’actions), réalisées entre 2006 et 2014 (échéance 2011 à 2019) par les entreprises du SBF120, la dernière édition du Panorama d’Eres révèle que

  • pour 100€ investis, entre 2006 et 2014, en titres de leur entreprise, les salariés du SBF120 ont réalisé un gain moyen entre 111% (décote et dividende compris, hors abondement) et 300% (avec un abondement de 100%).

Il est important de noter que ce gain est en plus exonéré d’impôt sur les plus-values grâce au régime dérogatoire du PEE.

 

Gain moyen entre 111% et 300% pour les salariés actionnaires du SBF120., Eres Group

Méthodologie de l’étude

  • Elle est basée sur des données publiques (documents de référence, communiqués de presse) et des informations issues de la FEAS (Fédération Européenne de l’Actionnariat Salarié).
  • L’analyse ne porte que sur les opérations d’actionnariat salarié « collectives » (proposées à l’ensemble des salariés, au moins en France) et non pas aux opérations ciblées.
  • L’historique est mis à jour en fonction de l’évolution de l’indice SBF120.

Echantillon et méthodologie de la partie sur la performance de l’actionnariat salarié

  • L’étude analyse 225 augmentations de capital réservées aux salariés ou cessions d’actions existantes, réalisées entre 2006 et 2014 (échéance 2011 à 2019). par 53 entreprises du SBF120. Seules les opérations classiques (FCPE investi à 100% en actions sans effet de levier) ont été analysées.
  • Nous avons comparé le prix de souscription (avec décote) au prix de l’action 5 ans plus tard.
  • Dans le calcul des gains (pertes), nous avons intégré les dividendes (cash/actions) versés aux actionnaires au cours de la période des 5 ans.
  • Le taux d’abondement n’étant la plupart du temps pas disponible, nous avons simulé les gains (pertes) en appliquant des taux allant de 0% à 100%

 

Lire aussi :

Pourquoi l’actionnariat salarié peut être bien plus qu’une stratégie d’association à la performance

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